Mon portfolio est officiellement en ligne !
Vous pouvez dès à présent découvrir une sélection de mes travaux à cette adresse :
Mon portfolio est officiellement en ligne !
Vous pouvez dès à présent découvrir une sélection de mes travaux à cette adresse :
La semaine passée, nous avons lancé officiellement le Facebook de la partie « édition » de Pixelfab. Appelée Pixelfab éditions elle présente en réalité la partie papeterie que nous commençons à développer.
Car oui, depuis plusieurs semaines (plusieurs mois même), nous travaillons sur des collections de carnets et de la papeterie. Étant un bureau de fabrication doublé d’un atelier de façonnage, le choix du papier et la finition des carnets a eu beaucoup d’importance à nos yeux.
Je m’étends sur ce sujet pour plusieurs raisons. Tout d’abord parce que je suis l’auteure des illustrations de ces carnets (sauf deux où nous sommes deux à être intervenus sur l’illustration). Ensuite, je suis officiellement la personne en charge de cette page facebook. Mais surtout, je présente ce sujet ici car je suis très fière de ce que nous avons réalisé et continuons à faire en ce moment. Car nous avons d’autres projets en cours, celà va sans dire.
À ce jour, nous avons dévoilé deux choses :
Nous sommes en train de révéler cette semaine une autre collection : celle axée sur Nantes, sur papier de créa materica et dorure à chaud. Vous pouvez en avoir un petit aperçu sur la photo, mais venez plutôt les découvrir sur le Facebook dans leur globalité !
Cette semaine, j’ai commencé à travailler à Pixelfab, dans la région nantaise.
Ce qui signe un peu la mise en parenthèse de ce blog. Non, je ne mettrai pas sur mon portfolio personnel des images des projets sur lesquels je travaille au sein de mon entreprise, mais vous pourrez en retrouvez quelques-uns ici :
Grâce à mon école supérieure, j’ai eu la proposition de compléter ma formation par 6 mois d’études en Chine, à Suzhou au sein de l’Art & Design Technology Institute. Dès demain, je prendrai donc l’avion pour la Chine afin d’intégrer pour plus de 170 jours cette université de design et d’artisanat.
Vous pourrez suivre mes découvertes par le blog qui me servira de journal de bord à cette adresse :
https://suzhouexpress.wordpress.com/
Suite à ma dernière épreuve avant-hier, j’ai reçu hier soir les résultats de mon diplôme.
Je suis maintenant officiellement titulaire d’un DSAA en design graphique avec mention du jury.
Aujourd’hui 10 juin, je passe l’oral présentant le thème de diplôme sur lequel j’ai travaillé depuis le début de mon DSAA, et plus intensément encore depuis septembre dernier.
C’est la conclusion de plusieurs mois de travail acharné, autant au niveau réflexif avec mon mémoire, qu’au niveau créatif pour les trois projets graphiques qui sont présentés lors de cet oral. À cette occasion, j’ai mis en place une scénographie adaptée dans une salle de studio photo à même d’accueillir mon jury.
J’ai pris le parti de séparer chacune des parties de mon diplôme également dans la mise en scène. Ainsi, chaque partie était présentée sur des kakémonos suspendus sur les traverses d’éclairages, et éclairés successivement, accompagnant mon discours au fur et à mesure.
Première partie : L’introduction.
Mon discours d’introduction à la réalité augmentée était accompagné d’un écran, d’un kakémono et d’un présentoir sur le côté présentant mes recherches.
Deuxième partie : Ra Nevers, l’application de mise en valeur du patrimoine.
Mon discours retraçant ma réflexion à l’origine du projet ainsi que le principe de l’application de RA Nevers était accompagné d’un écran montrant une vidéo de démonstration, de deux kakémonos et d’un présentoir sur le côté présentant mes recherches.
Troisième partie : EphemAR, le Mook d’actualité culturelle.
Mon discours retraçant ma réflexion à l’origine du projet ainsi que le principe du Mook EphemAR était accompagné d’un écran, de deux kakémonos et d’un présentoir sur le côté présentant mes recherches.
Quatrième partie : la Réalité Diminuée, la vision orientée du virtuelle.
Mon discours retraçant ma réflexion sur les dérives possibles de la Réalité Augmentée, notamment dans la tendance à vouloir masquer ce qui déplait, était accompagné d’un écran montrant une vidéo de démonstration, de deux kakémonos et d’un présentoir sur le côté présentant mes recherches.
Voilà donc la scénographie de mon projet de diplôme. Le résultat final de mes épreuves demain soir.
Ma réflexion autour de la Réalité Augmentée m’a amenée à penser la cohabitation de plusieurs représentations en un même lieu : l’environnement réel et les additions numériques apportées par la RA. Ainsi, il est possible par ce biais de faire cohabiter plusieurs réalités, et notamment plusieurs temporalités, ce qui rend cette technologie particulièrement intéressante pour la mise en avant du passé d’un lieu.
J’ai donc travaillé en compagnie de la ville de Nevers sur une mise en avant du patrimoine historique aujourd’hui disparu, mais qui peut être révélé par le biais du numérique, en superposant, par exemple, les images d’archives avec la réalité actuelle du lieu, et ce en direct et en temps réel. L’objectif de cette application était de proposer une fenêtre sur le passé de la ville, rendant ainsi possible une promenade dans le Nevers disparu grâce aux écrans.
Mais le projet ne s’arrête pas là. En faisant mes recherches sur le passé de la ville de Nevers, je me suis vite rendue compte que les personnes qui connaissait le mieux ce passé n’étaient pas forcément la mairie ou même les archives de la ville, mais… les habitants. Nevers est une ville dans laquelle on compte bon nombre de « vieilles » familles, vivant ici depuis des générations et très attachées à ce lieu et à cette filiation, cette passation du savoir sur l’histoire de cette ville qui leur est chère.
C’est ainsi qu’est née l’idée de faire de cette application pas seulement un vecteur d’information, mais un moyen de partages de savoir. Ainsi, il est prévu que les données de base de l’application, présente à son lancement, soient fournies par les archives de la ville. Mais bien vite, ces données de base seront complétées par les informations, photos, anecdotes et descriptions que les personnes utilisant l’application seront invitées à partager si elles le souhaitent. Une fois ces informations vérifiées par le service communication de la ville, elles seront alors intégrées à l’application, telles quelles, de manière textuelle ou photographique, ou par des modélisations de l’élément passé ou une reconstitution. Ainsi, cette application sera continuellement enrichi de nouveaux contenus.
Au cours de la construction de ce projet, j’ai échangé plusieurs fois avec le service patrimoine de la ville afin de correspondre à leur attentes. Il se trouve qu’ils ont justement l’intention de créer une application semblable et étaient donc curieux de voir mes propositions sur ce sujet. À l’heure d’aujourd’hui, j’ai transmis mon travail au service patrimoine de la ville avec qui j’avais échangé.